Paul Mukendi et Randy Tshilumba sont les deux originaires du Congo qui font la Une des médias canadiens à cause des démêlés judiciaires auxquels ils font face, au Canada.
Accusé entre autres d’agression sexuelle sur mineures, Paul Mukendi, pasteur et responsable d’une église de réveil dans la ville de Québec, a été arrêté le lundi 2 octobre 2017 par les enquêteurs du Service de police de la Ville de Québec.
«<i>En tout, neuf accusations ont été portées contre lui, en lien avec des événements qui se seraient produits entre avril 2002 et mars 2016. Ainsi, on lui reproche, sur une période de 14 ans, d’avoir agressé sexuellement une jeune fille qui, au départ, avait 14 ans. Pour cette même victime, on l’accuse de contacts sexuels, de voies de fait armées d’un couteau ou d’une ceinture, de menaces de mort, de voies de fait causant des lésions corporelles et de voies de fait simple</i> », rapporte journaldemontreal.com, un média local qui signale également que le suspect, après avoir payé une caution de 1000 dollars, a été remis en liberté provisoire en attendant sa comparution le 7 décembre prochain devant le tribunal.
L’autre Congolais, Randy Tshilumba est, quant-à-lui, en plein procès avec la justice canadienne. Arrêté depuis le 12 avril 2016, après avoir abattu une jeune femme dans un super marché, le jeune homme de 21 ans comparaît au palais de justice de Montréal depuis le début du mois de septembre 2017.
«<em>Vu l'accusation de meurtre prémédité, Randy Tshilumba, bien qu’il ait plaidé non-coupable lors de son premier procès, risque une peine de prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle avant 25 ans, soit la peine la plus sévère du Code criminel</em> », a indiqué, le mardi 3 octobre 2017, radio-canada.ca.
<strong>Will Cleas Nlemvo</strong>